Farces Conjugales

13 février 2019 - Spectacle
Farces Conjugales

Farces Conjugales
Vaudeville Rock

 

D’après Feydeau
Farce théâtrale et musicale en 3 tableaux
mise en scène : Gilbert Ponté (La Birba Cie)

Avec : Myriam Allais, Kosta Asmanis, Gilbert Ponté
Sophie Nicollas / Christelle De Saint Riquier

Création musicale : Kosta Asmanis – Myriam Allais
Chansons : Myriam Allais 

Scènographie : Gilles Teyssier
Lumière : Kosta Asmanis
Costumes : Anne-Marie Molenat

Création Février 2012 à Francheval (Ardennes)
Mars 2012 – La Passerelle /Fleury-Les-Aubrais
Septembre 2012 – Givet “Le Manège” (08) – Ardennes
Octobre 2012 – La Châtre “Théâtre M.Sand” (36) – Indre

Rôles : Cinq Personnages divers, contrastés, 
La rockeuse : personnage haut en couleur, chanté !
La belle-mère : femme extravagante, extravertie
Rose : servante “naïve” 
Monsieur Chouilloux : Fonctionnaire du Ministère de la guerre, “coincé” 
Hortense : Femme de chambre perspicace, qui ne se laisse pas faire !

Le propos “Farces conjugales” regroupe trois petites pièces de Georges Feydeau : “Léonie est en avance”, “On purge bébé”, “Hortense a dit j’m’en fous”.
Ne garder de chaque pièce que son épine dorsale, l’énième et absolue crise du couple qui est en son cœur.

Le tout pour quatre comédiens-chanteurs, en chansons toniques (pour rendre hommage à l’origine du vaudeville), qui rendent compte de la farce infernale qui se joue chez Feydeau.
Les chansons et la musique rock jouée sur scène sont le “conteur” du spectacle. Elles commentent l’histoire, et elles en sont le lien. Elles  ponctuent les différentes phases du jeu, mais également les différentes pantomimes du spectacle.
C’est dans un espace scénique aux lignes tendues (cubes, podium) qu’évoluent les personnages. Dans un premier temps, des couleurs vives habillent la scène, pour petit à petit évoluer vers un blanc neutre qui rend compte de la folie quasi clinique des personnages de Feydeau et accentue leur comique.
Liberté d’expression, théâtre dans le théâtre, parenthèse de l’action, commentaire musical, commentaire critique de la situation, cette liberté de ton correspond précisément aux leviers comiques de Feydeau.
 Gilbert Ponté